27 avril 2009 !

15h00 : Mon amour viens d'arriver à la maison après sa demi-journée de travail. Tout me semble tellement étrange. Je regarde nos valises fait depuis quelques jours et y rajoute les muffins que j'ai fait se matin. Apparament la nourriture a l'hopital est terrible. Pendant neuf mois je me suis dis que je tenterais de mon mieu pour accoucher naturellement, au du moins le plus naturellement possible. Cours de yoga , cours prénataux, livre , disscussion avec le docteur, les gens autour, bref je voulais essayer. 41 semaine et demi passé, je ne sais même pas ce que c'est qu'une contraction. Je ne suis même pas dilater a 1. Bébé est décidé a ne jamais sortir. On avais pas prévu le coup comme ça. Mais là, on se prépare a quitter la maison pour l'hopital et quand on va revenir on va avoir un bébé. Comme aucun travail n'a commencer , je dois me rendre a l'hopital a 16h00 cet après-midi, il vont me poser un tampon de cervicil que je vais garder toutes la nuit, pour ramollir et ouvrir le col. C'est possible que ça ne fonctionne même pas. Donc se soir je soupe a l'hopital et on dors là-bas , tout en sachant que demain je suis provoqué. Je ne vais jamais être capable de dormir c'est fou. En plus on va être dans la chambre avec les mamans et leurs bébé, ça va vraiment être une drôle de nuit !

16h00 on arrive à l'hopital pour accoucher , encore là rien n'est comme dans tout se que j'ai pu imaginer. Je ne suis pas en travail , a souffler en parlant au infirmière. Je me sent comme si on venait de rentrer dans un motel cheap pour la nuit . Je le sais maintenant que l'accouchement naturelle je ne l'aurait pas , par ici le cervicil, le pitocin, l'épidural ! Pas grave je veux voir mon bébé . Il vont me provoquer demain vers 6, 7 heure du matin.

17h00, le docteur arrive, m'examine, pas la peine de prier je suis toujours a 1 centimètre , et aucun signe de travail a l'horizon. Le docteur explique qu,il va poser le tampon , que je vais manger, dormir la nuit et que demain si ça n'a pas fonctionner , parceque ça ne marche pas a tout coup, il utiliseront une poire quelqu'onque avant de commencer le pitocin. Il me dit qu'une fois le tampon en place je ne peut pas bouger pour une heure environs, et qu'il vont m'apporter mon souper ici . Ici étant un genre de corridors avec trois lits, les deux autres sont vide. Il font préparer nôtre place dans la chambre non privé, dans laquel on sera transferer dans environs une heure.

17h30, j'ai le cervicil depuis une demi heure, et je ne vais pas bien, je ne me sent pas bien. J'ai le gôut d'aller au toillette, je tremble, et il me semble que ça va pas du tout. Quand j'appel l'infirmière, elle semble très calme, regarde des trucs, je pense qu'elle ne me croit pas trop , me dit qu eje ne peut pas me lever avant environs une heure, donc pas de toilette et repars. J'ai l'impression que l'on m'a pas crue, je ne vais pas bien bon, et sa empire , je sens que mon ventre est contractée, dur , j'ai mal , j'ai l,impression que c'est une contraction , mais ya pas de vague dans mon affaire, ça reste là toujours , toujours , toujours. Et là , le monitoring commence a sonner, la fréquence cardiaque de bébé baisse. Je rappel l'infirmière , je capote un peut. Cette fois ci je vois dans son visage que y'a de quoi qui marche pas, elle reste pas longtemps et s'en va appeler le médecin. Elle revient assez rapidemment et me retire le cervicil. La contraction , parceque s'en est une diminue un peu. Ma première contraction a durer 20 minutes. J'en est plusieurs qui suive irrégulière, je veux juste me lever debout et marcher, les infirmière veulent juste que je m'assoie, no way , je reste debout bon.

19h30 on nous change de chambre , mais pas dans celle ou on est suposer d'aller , on se retrouve en salle d'accouchement parcequ'on sait pas trop quoi faire avec nous. Je n'ai plus de cervicil, les contractions sont toujours là mais très irrégulière et diminue tranquillement depuis que le cervicil n'est plus là. Vers 21h00, je ne les sents presque plus. On nous dit toujours que le médecin va venir nous examiner plus tard, mais plus tard semble vraiment tard. Et comme on a pas de nouvelle je n'appelle pas ma mère car je ne sais pas trop quoi lui dire.

Le médecin arrive vers minuit, il explique qu'il n'a jamais vue quelqu'un réagir si fortement au cervicil. Rien n'a vraiment bouger , il vont commencer le pitocin demain matin. Je perd mon bouchon muqueux, papa a maintenant un lit de camp dans la salle d'accouchement et s'endort. Moi je reste etendu un peu , sent toujours de petites contractions. Finalement je m'asssoie sur le ballon. Je suis dans cette chambre silencieuse dans la nuit a regarder sur le moniteur le coeur de bébé battre. Je meurt de faim. Je n'ai pas manger depuis le dinner, et même si les contraction sont presque disparue on me dit de ne pas manger et refuse de m'apporter quoi que se soit. Tout est calme j'entends les infermière jaser de l,autre côté de la porte , j'ai le gôut d'aller les rejoindre, mais serait bien trop gèné. La nuit s'étire lentement .

la suite demain !